Rouen, au fil des jours...

En famille…

Le cigneau du Jardin Solférino, en famille…

L'oiseau…

Détail d'un immeuble situé rue Étoupée.

Fontaine Sainte Croix des Pelletiers

L'agneau Rouennais, détail de la Fontaine Sainte Croix des Pelletiers.

Fontaine Sainte Croix des Pelletiers

Située dans la rue Sainte Croix des Pelletiers, la construction de cette fontaine débuta le 16 novembre 1634. Alimentée par l'aqueduc de la source Gaalor, elle fut démolie et déplacée en 1667.

Jardin du Musée des Antiquités

Bas-relief de la Fontaine du Marché-Neuf, dans le jardin du Musée des Antiquités. Le bas-relief, réalisé par le sculpteur Rouennais Pollet, représentait un massif pyramidal surmonté d'une boule et sur lequel était accosté un aigle dont il subsiste seulement le torse, les serres et les ailes déployées. Originellement, l'aigle tenait dans son bec une guirlande de fruits et de fleurs.
La Fontaine du Marché-Neuf fut édifiée en 1761, et détruite en 1881 lors des travaux de reconstruction du Palais de Justice par l'architecte Lefort.

Diane, déesse chasseresse…

À l'entrée du Musée des Antiquités…

Fontaine Sainte Marie

Au "sommet" de la rue Louis Ricard, la fontaine Sainte Marie domine la place de l'Hôtel de Ville en contrebas et la rue de la République, qui descend jusqu'à la Seine. Sculptée par Joseph Falguière dans une pierre de mauvaise qualité, ce qui lui a déjà valu plusieurs restaurations, elle fut inaugurée en 1879. Elle recouvre un réservoir qui alimente encore de nos jours la ville en eau. La figure centrale symbolise la Ville de Rouen sur un navire qui vogue sur le Robec et l'Aubette. À ses côtés, les génies de l'Industrie et du Commerce. Elle est encadrée de deux "couples" hommes / animaux, qui symbolisent quant à eux l'Agriculture et l'Élevage.   

Dans le cochon, tout est bon !

Enseigne d'un charcutier-traiteur, rue Beauvoisine.

Napoléon Ier

En 1865, la statue de Napoléon Ier, seule statue équestre de la Ville de Rouen, a été installée place de l'Hôtel de Ville, dans l'axe de la rue Thiers, devenue rue Jean Lecanuet. Œuvre de Gabriel-Vital Dubray, son piédestal a été réalisé par Louis Desmarest. Le bronze utilisé pour la réaliser provient des canons qui furent saisis lors de la bataille d'Austerlitz, et a échappé de justesse à la fonte sous la Troisième République, puis lors de la Seconde Guerre Mondiale.

Petite particularité : le diamètre du bicorne que tient "l'Empereur " à la main droite est d'un diamètre inférieur à celui de sa tête…

Cats among the pigeons…

 

Chats des rues, chats dans la ville, chats perdus, chats à la rue, chats errants… Ils se tiennent cois l'espace d'un cliché… Nous ne sommes pas là, nous n'existons pas, semblent dire leurs yeux figés d'émeraude… Nous sommes chimériques… Ne bougeons pas, nous ferons comme si nous ne nous étions jamais croisés…
Quelque part entre l'Hôtel de Ville et Saint Maclou…