Case départ

Il est temps que je recommence à écrire un peu. Cela m'a manqué ces derniers temps. Mais le temps m'a manqué pour faire ce que j'avais envie de faire.

Mon contrat s'est achevé au terme de ses premiers trois mois pour des raisons que je vous expliquerai dans un prochain post. Exit les six mois suivants que je devais faire et qui étaient supposés me mettre un peu à l'abri, me laisser souffler, un peu… Bien sûr, je ne suis pas mécontente de m'être échappée de cette usine à gaz dans laquelle j'étais cantonnée 7 h par jour, 5 jours de la semaine, sans qu'on me donne le moindre dossier à gérer. Mes deux derniers mois, je les ai passés à attendre que les minutes, les heures, les jours passent… Impossible de faire quoi que ce soit de perso. Ambiance détestable et esprit délétaire assurés sur fond d'oreilles qui traînent pour écouter des conversations qui ne leur sont pas destinées.

Retour à la case départ, ou plutôt devrais-je dire à la case fin. A mes errances. Je suis à nouveau au chômage, mais hors statistiques. Je ne fais plus partie de ces chômeurs qu'on rémunère. Ca ne m'exonère néanmoins pas de payer des impôts. Funny, isn't it ? Bilan : j'ai deux mois pour trouver le travail que je n'ai pas réussi à trouver en deux ans. C'est le début de la course contre la montre…